Martial Gohourou, directeur exécutif de la FIF, fédération ivoirienne de football, s’est prononcé sur le cas Ousmane Diomandé en sélection ivoirienne. Selon le numéro 2 de la FIF, le défenseur ivoirien évoluant au Portugal a eu toutes les chances de faire ses preuves avec les éléphants.
Martial Gohourou fait de nouvelles révélations sur Ousmane Diomandé, le défenseur du Sporting au Portugal. Pour le numéro de la FIF, le défenseur ivoirien a eu de nombreuses occasions de faire ses preuves en sélection nationale. Cette déclaration fait suite à la rencontre entre les éléphants de Côte d’Ivoire et l’Arabie Saoudite, match perdu par les hommes d’Emerse Faé par le score de 1-0. Pour cette rencontre, le sélectionneur des éléphants de Côte d’Ivoire avait décidé de titulariser en défense centrale Gbamin Jean-Philippe, qui normalement évolue dans le compartiment du milieu de terrain.
Ce choix de l’entraineur a suscité quelques interrogations, d’autant plus que le défenseur Ousmane Diomandé était l’homme idéal pour ce poste. Pour Martial Gohourou, le défenseur central ivoirien n’a pas réussi à faire ses preuves en sélection nationale : «Quand on prend le jeune Ousmane Diomandé, après la CAN il a joué très peu. Ça montre qu’il n’est pas sur les tablettes de l’entraîneur. On lui a donné plusieurs chances dans cette équipe de Côte d’Ivoire et il n’a pas été à la hauteur.», a déclaré le directeur exécutif de la fédération ivoirienne de football. La Côte d’Ivoire dispute son second match des fenêtres internationales FIFA ce mardi 18 novembre face à Oman. Le 11 de départ de Faé Emerse sera connu d’ici peu.
Cette fenêtre de matchs amicaux sera décisive dans le choix de l’entraineur ivoirien pour sa liste des joueurs à la prochaine coupe d’Afrique des Nations. Si certains leaders de l’équipe sont quasi assurés de participer à cette compétition, d’autres devront batailler dur pour mériter une place à la CAN 2025 au Maroc. A en juger par les déclarations de Martial Gohourou, Ousmane Diomandé pourrait justement faire partie de ces joueurs qui n’ont pas encore une place garantie pour l’aventure marocaine au mois de décembre.



